12/9/2024
Microtransactions excessives, manque de transparence, utilisation des données discutables: le jeu vidéo s’est imposé comme un produit de consommation important et reconnu avec – aussi – son lot de problèmes.
Selon l’Office fédéral de la statistique, 55% des Suisses jouerait occasionnellement à des jeux vidéo, et 30% d’entre eux au moins une fois par semaine. Malgré ce succès, le débat public se limite souvent à l’outrance de certains contenus plutôt qu’à l’étude des mécanismes économiques déployés.
Les revendications de la FRC touchent essentiellement à la transparence: la nécessité par exemple de connaître la manière dont l’activité du joueur ou ses achats influencent le jeu ou le prix des éléments du jeu. L’association dénonce également les pratiques qui vont miser sur l’addiction et l’émotionnel pour conduire à l’achat.