9.5.2023, Manon Renaud
«Suite à une émission sur les collectes d’habits, je ne veux plus donner mes habits à Texaid. Je voudrais que mes affaires aident les personnes dans le besoin en Suisse.» Janik G.
FRC | La plupart des vêtements (65%) récoltés par les dispositifs de collecte sont revendus en Europe de l’Est, en Asie et en Afrique comme produits de seconde main. La majeure partie des bénéfices dégagés sont reversés ensuite à des organisations caritatives. Le reste est transformé soit en chiffons de nettoyage (15%), ou mélangé à d’autres matériaux pour produire notamment des isolants (15%), ou détruit (5%). Pour garantir un circuit court, il faut remettre ses vieux habits directement dans des boutiques de seconde main dont beaucoup sont dédiées à des œuvres sociales (Centre social protestant, Armée du Salut, Picpus de Textura, Emmaüs). Ou encore les vendre via les Bourses aux habits FRC.