10.6.2021, Stella Gumy
Conclure une assurance pour ses amis à fourrure, à plume ou à crin: une solution qui peut permettre d’anticiper de gros frais médicaux non prévus. Mais tout n’est pas si simple.
Première difficulté: identifier les acteurs du marché. Entre les assurances spécifiques (comme Epona ou Wau-Miau) et les assurances «classiques» qui se sont engouffrées dans la brèche (La Vaudoise, Helvetia, La Mobilière, etc.), pas facile de trouver les informations. Ensuite, les franchises, la couverture, les critères diffèrent fortement d’un produit à un autre. Enfin, les montants des primes: les prix s’échelonnent de moins de 5 fr. à près de 55 fr. par mois selon le type d’animal, sa race, son âge, etc.
Dans un domaine où les prestations diffèrent sensiblement d’une assurance à l’autre, une lecture attentive des conditions générales faisant foi s’impose. Enfin, en cas de doute, le recours à la Loi fédérale sur le contrat d’assurance (LCA) peut s’avérer utile.
La FRC a reçu cette dernière année de nombreuses réclamations pour Epona, concernant principalement des retards dans la prise en charge lors de déclarations des sinistres, dans les remboursements et dans tous les échanges en général. Interpellé, l’assureur promet de combler son retard dans le courant de l’été. N’hésitez pas à nous tenir au courant de l’évolution de la situation.
Tableau comparatif pour les chats (PDF)
Tableau comparatif pour les chiens (PDF)