25.2.2020, Valérie Muster - coll.: Barbara Pfenniger et Yannis Papadaniel / Photo: Jean-Luc Barmaverain
Le trop beau pour être vrai ou honnête est un fonds de commerce extrêmement lucratif. Chaque jour, FRC Conseil offre son aide au consommateur lésé. Morceaux choisis.
Faux et faussaires sont presque aussi vieux que le monde. Monnaie, objets d’art ou d’histoire, c’est du passé. Les frontières sont franchies puisqu’ils sévissent dans tous les domaines. Le quotidien est rempli de produits, de services ou d’informations tous plus faux les uns que les autres. Outre les traditionnels faux neveux, plombiers et policiers, on trouve une large palette de phénomènes désormais bien connus sur la Toile, les faux e-mails, annonces, gains ou produits de marque de luxe. Plus insidieuses, les tromperies concernant les denrées, les médicaments et les pseudolabels sont plus difficilement identifiables sans recourir à une batterie lourde de tests et d’investigations. Les fausses bonnes nouvelles et pseudo-bonnes intentions à des fins de marketing fleurissent également, les entreprises qui pratiquent le greenwashing étant en augmentation.
Décortiquons certains classiques, car même si le faux pullule, certaines règles de précaution permettent de diminuer sa vulnérabilité et de ne pas terminer comme le vrai pigeon de l’histoire!