Au fil du mois

Coup de chapeau, bonnet d'âne

Des hauts et des bas, au fil des semaines...

02 juillet 2025

Coup de chapeau

  • À la clinique des lettres d’Éclépens (La Poste, VD), qui a renvoyé à l’expéditeur un courrier dont l’enveloppe n’affichait qu’un prénom et un nom sans la moindre adresse au recto, au verso ou à l’intérieur. Il s’agissait d’une carte de remerciement suite à un décès. Les enquêteurs ont retrouvé le faire-part sur lequel figuraient les coordonnées dans la presse et l’ont renvoyé dans les quatre jours.
  • À Festi’Neuch, qui a pris la décision courageuse et nécessaire de faire évacuer le site et a géré la situation avec un professionnalisme total. De plus, dès le lendemain, il a communiqué via toutes ses plateformes et dans les médias sur le fait de rembourser des billets. La démarche a été simple et rapide.
  • À Pfister Meubles, qui a envoyé sans aucuns frais une pièce de rechange sur la base de simples photos. L’attache entre le dossier et le placet d’un siège s’était rompue.
  • À Ecco Verde, pour sa promptitude à réagir. Un flacon avait coulé lors du transport, endommageant le colis. Une membre bernoise l’avait signalé le jour de la réception de la commande via le formulaire ad hoc. Le lendemain, l’entreprise la remboursait du montant du flacon de shampooing incriminé.
  • À Victorinox, qui a remplacé gratuitement un petit couteau envoyé pour réparation par un article neuf.

Bonnet d’âne

  • À ED Immobilier, qui distribue des tous-ménages dans les boîtes aux lettres sans s’occuper de l’autocollant «Non merci, pas de pub»!
  • À Norton, BMW, entre autres, qui rédigent leur communication d’entreprise exclusivement en allemand, en vertu du principe qui veut qu’il suffise d’une langue nationale. À l’heure actuelle, avec les moyens qui existent (même sans intelligence artificielle), cette membre neuchâteloise considère qu’il est impossible de ne pas trouver comment communiquer dans la langue de la clientèle.
  • À la CSS, qui commettrait «trop» d’erreurs dans les décomptes de prestation d’une membre du Jura bernois. «Il faut vraiment «pouiller» ses décomptes», se plaint-elle. Par exemple pour la facturation de médicaments: l’assurée raconte ne pas avoir pris un générique, alors que la pharmacie avait clairement noté qu’il était indisponible et que le traitement ne devait pas être stoppé.
  • À Migros Vaud, pour un kilo de carottes De la région vendu 1fr. sous plastique, alors que le même kilo en vrac, «Suisse de la région» cette fois, est à 1fr.30. Ne peut-on pas expliquer en rayon ce que les 30 centimes de majoration couvrent? s’indigne un Vaudois.
  • À Franco Shop, pour l’achat d’un sèche-cheveux Rev’hair payé mais jamais livré. La Genevoise a découvert, mais trop tard, que ce site écopait d’une ribambelle d’avis négatifs.

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